Archives: Actualités

  • Séminaire CESR "La tragi-comédie en Europe "

    PROGRAMME

    9H30 Accueil des participants

    9h45 Anne Teulade (Université de Nantes)
    La comedia espagnole et les hésitations de la tragi-comédie française : le cas de d’Ouville

    11h Pause

    11h30 Christian Biet (Université Paris X-Nanterre)

    Le genre de la tragédie au regard des événements tragiques : constitution d’un genre. La traduction d’Orbecche
    de Giraldi, par Du Monin (1585)

    12h45 Pause

    14h30 Florence d’Artois (Université Paris IV-Sorbonne)
    Composition des recueils et stratégies d’autopromotion: le cas des Partes de Lope de Vega

    Discussion finale

  • Innovatives SHS

    Des logiciels de modélisation conçus par des historiens utiles pour des sociétés d’assurance, des outils d’aide à la décision qui facilitent l’approche des changements dans l’entreprise, des reconstitutions 3D pour les musées, des outils de communication pour les handicapés… autant de créations issues des sciences humaines et sociales qui participent au transfert de connaissances et à l’innovation. Avec Innovatives SHS, le premier salon de la valorisation des connaissances et de l’innovation en sciences humaines et sociales, le CNRS et l’Alliance Athéna (1) veulent montrer la diversité et la richesse des recherches nées dans les laboratoires de sciences humaines et sociales faisant l’objet d’une démarche de valorisation

    Le Centre d’Etudes Supérieures de la Renaissance (CESR), en partenariat avec la MSH Val de Loire, sera présent sur le salon pour présenter le Cubiculum musicae (« Chambre de musique »), œuvre de réalité augmentée ou virtuelle reconstituant à travers la diffusion d’images et de sons les environnements architecturaux et sonores de la Renaissance. L’évolution des images projetées ainsi que la spatialisation de la diffusion des enregistrements sonores permettent de simuler la progression des spectateurs au sein de l’espace reconstitué dans cette « chambre musicale » et de leur permettre d’assister de manière dynamique à un bal de cour, une entrée princière en milieu urbain, un office religieux….

    Le Laboratoire d’Economie d’Orléans présentera le projet RunMyCode : a Scientific Paper Web Service. RunMyCode est un projet de création et de déploiement à l’échelle internationale d’une plateforme de mise à disposition de codes de calculs scientifiques dans le domaine de l’économie et de la gestion. Ce projet repose sur le concept novateur de « site compagnon » de publication scientifique.

    Programme complet du salon Innovatives SHS

  • Centre et périphérie dans le décor figuratif des églises médiévales

    En parcourant sommairement l’évolution du rapport centre / périphérie dans le décor figuratif de l’église médiévale, il s’avère que les éléments qui s’articulent en ces termes sont remarqua- blement instables dans la diachronie et même dans la synchronie. Cela est dû à l’ambivalence envers la clôture, les séductions du monde et finalement le sacré lui-même. Du point de vue méthodologique, cette instabilité dément bien des fausses évidences sur l’organisation du sys- tème religieux chrétien médiéval et sur la hiérarchie des valeurs qui est censée y prévaloir.

    Intervenant :
    Jean Wirth, Histoire de l’art, Université de Genève
    Le débat sera animé par Pascale CHARRON (Histoire de l’art, Université de Tours, CESR)
  • Appel à candidature pour un contrat doctoral

    Le projet s’inscrit à la fois dans les axes 1 (Cultures au pluriel) et 2 (Cultures numériques) de l’ARC 5. Il relève aussi bien du thème ‘Patrimoine’ de l’axe 1, que des thèmes ‘Corpus’, ‘Usages SHS du numérique’ et ‘Edition génétique et critique ‘ de l’axe 2.

    Sur le plan patrimonial, le projet comporte une forte dimension de valorisation. En effet, le Journal de Michon est à la fois bien connu des historiens de la ville de Lyon à l’époque moderne, et en même temps, largement méconnu. Par la durée de la période couverte (1715- 1743), et par son ampleur (7 épais registres in folio manuscrits), il s’apparente aux grands écrits du for privé issus des milieux curiaux ou parisiens de la première moitié du dix- huitième siècle. Mais, cité ou évoqué par plusieurs travaux érudits ou universitaires, il a été utilisé comme source d’informations sans avoir jamais été exploité de façon méthodique, et il n’a fait l’objet jusqu’à ce jour d’aucune tentative de publication. Tenu par un notable lyonnais qui a vécu au cœur des élites et des pouvoirs locaux, il représente pourtant une source exceptionnelle pour connaître la vie municipale et urbaine de cette période, dans tous ses aspects. Son édition critique revêt à la fois une dimension de valorisation du document lui-même, et de valorisation des collections propres du Musée historique de la ville de Lyon, par l’enrichissement de la connaissance de leur contexte historique local.

    Le contrat doctoral s’inscrit dans le cadre du dispositif de soutien à la recherche mis en place par la Région Rhône-Alpes. Il est financé dans les mêmes conditions qu’un contrat doctoral d’Etat et le doctorant percevra donc un traitement d’environ 1600 euros bruts durant trois années au bout desquelles la soutenance de la thèse devra avoir lieu. Le contrat démarrera à la rentrée 2013. Les candidat.e.s à ce contrat seront auditionné.e.s par le jury de l’Ecole Doctorale “Sciences Sociales” du PRES de Lyon/Saint-Etienne, au début du mois de juillet. Le dossier de candidature devra donc être déposé à la mi-juin et devra comporter un cv et une présentation du projet. La thèse sera réalisée au sein du Pôle Histoire numérique de l’UMR 5190 LARHRA.

    Contact : Bernard Hours

  • Journées d’étude Gestion informatisée des écritures anciennes : état des lieux et perspectives

    Dans le cadre de l’appel à projet MSH Val-de-Loire 2012, le Centre d’Études supérieures de la Renaissance (CESR, Tours) et l’Institut de Recherche sur les Archéomatériaux (IRAMAT, Orléans) organisent les 21 et 22 mai 2013 à Tours deux journées d’études consacrées à la Gestion informatisée des écritures anciennes.

    Destinées tant aux chercheurs issus des lettres, des sciences humaines et sociales, des bibliothèques ou des musées, qu’à ceux exerçant dans le domaine du graphisme ou de l’informatique, ces journées d’étude entendent favoriser l’échange et les rencontres entre acteurs de milieux divers : conservation du patrimoine (bibliothèques, musées), recherche historique, graphisme et création de caractères.

    Inscription (libre et grauite dans la limite des places disponibles) en ligne sur le site dédié à la conférence

    Lieu : CESR, Salle Rapin – 59, rue Néricault-Destouches, Tours

  • Le LEO à la radio

    Depuis le 14 février 2013 France Bleu Orléans diffuse des interviews des chercheuses et chercheurs du Laboratoire d’Économie d’Orléans (LEO). Ces chroniques d’environ 3 minutes sont diffusées sur les ondes de France Bleu (100.9 pour Orléans) le matin entre 07h40 et 07h45 dans le cadre de l’émission “Combien ça me coute”.

    Les enseignants -chercheurs du LEO interviennent tous les jours sur des questions d’actualité. Ils apportent des compléments aux informations diffusées par les différents médias.
    Des précisions de spécialistes ne peuvent que nous ouvrir l’esprit et nous porter à la réflexion.

    La plupart des émissions sont en écoute ici.

  • [colloque international] “Alternatives de propriété pour l’habitat”

    Colloque de clôture du Programme de recherche bi-disciplinaire (Sociologie et Droit) « Partages des espaces habités : vers des formes ALTERnatives de PROPriété » financé par l’Agence Nationale de la Recherche (Espace et territoire 2010).

    La propriété privée, longtemps au fondement de la citoyenneté et de la démocratie, est aujourd’hui revisitée par des pratiques de propriété collective, de propriété d’usage, de location de longue durée, de propriété partagée, mutualisée, coopérative, etc. Des logiques de tiers-secteur (associatif, professionnel, participatif, etc.), voire un refus total de l’Etat, apparaissent  et interrogent, au nom de l’économie sociale et solidaire et du développement durable notamment, le modèle occidental de la propriété.
    Ces remises en question dont on comprend qu’elles sont à la fois politiques, économiques, environnementales, conduisent à réactiver, contre un individualisme estimé forcené, des logiques de sociabilité, de solidarité, voire de communauté contre les dispositions législatives et les pratiques qui préservent la propriété privée et bloquent le plus souvent les idées de propriété collective et de mises en commun des espaces habités.

    Le colloque Alternatives de propriété pour l’habitat approfondira l’ensemble de ces questions sociales, juridiques et politiques autour de 3 axes :

    Axe 1 : Habiter autrement : mutualiser, partager, repenser l’habitat
    Axe 2 : Alternatives du développement durable: cohésion sociale, préservation de l’environnement
    Axe 3 : Repenser les formes de la propriété : propriété collective, coopérative, d’usage

    Inscriptions obligatoires (gratuites) : du 1er juin 2013 au 26 octobre 2013.

    Programme complet et informations pratiques sur http://alter-prop.sciencesconf.org/

    Appel à communication

  • Séminaire du CeTHiS

    L’équipe HiViS (Histoire, Ville, Société) du CeTHiS,  vous invite à un séminaire le 19 mars 2013 intitulé “Cultures matérielles urbaines”. Il est  organisé par Ulrike Krampl dans le cadre du séminaire “Ville, Pouvoir(s) et culture” du  master ‘Histoire urbaine” avec Natacha Coquery (LAHRA – Lyon 2) et Manuel Charpy (IRHIS – CNRS).

  • Offre d’Emploi

    La Maison des Sciences de l’Homme Val de Loire (MSH VdL) souhaite proposer aux 14 laboratoires qui la composent actuellement ainsi qu’au Réseau National des Maisons des Sciences de l’Homme, des informations sur ses activités.
    Sous l’autorité de la directrice de la Maison des Sciences de l’Homme Val de Loire, le ou la Chargé (e) de communication devra assurer la réalisation matérielle de supports de communication, en relation avec ses partenaires internes et externes.

  • L’objet de l’exposition : l’architecture exposée

    « L’objet de l’exposition » porte une réflexion sur l’exposition comprise en tant qu’objet d’étude à part entière. Chaque année, le séminaire se propose d’aborder ce vaste champ de recherche à travers le choix d’une thématique particulière, reprise lors d’une journée d’étude qui clôture le cycle. Après le « cinéma exposé » en 2011/12, c’est «l’architecture exposée » qui est étudiée cette année, en partenariat avec le Fonds Régional d’Art Contemporain de la région Centre et le Centre de Création Contemporaine de Tours.

    L’exposition d’architecture apparaît dès la Renaissance avec la création du premier musée consacré aux maquettes au Vatican. Ce jalon initial inaugure une réflexion sur cette pratique qui se poursuit, en France, dès le XVIIIème siècle avec l’ouverture du musée des Monuments français d’Alexandre Lenoir (1795). Aujourd’hui, des institutions spécialisées telles que le Deutsches Architekturmuseum de Francfort ou le FRAC Centre existent toujours. Il faut également compter avec les collections que des institutions plus généralistes ont développées à ce sujet, comme le MoMA ou le Centre Pompidou. Cette histoire, déjà longue, met en lumière la permanence de l’exposition d’architecture ainsi que la diversité des institutions qui se sont emparées de cette pratique et qui se confrontent à la difficulté de sa mise en oeuvre.

    En effet, l’architecture s’expose à la fois sous sa forme d’objet construit et par l’intermédiaire de plusieurs modes de représentations tels que le dessin, la maquette, la photographie, le texte, le catalogue d’exposition, la scénographie, le multimédia… Cette diversité de supports se traduit par un riche éventail de solutions quant à leur mise en valeur aux yeux du grand public, souvent peu initié à cette vision de l’architecture. Ainsi, que le parti pris d’exposition soit historique, monographique ou conceptuel, il engendre un déplacement dans notre conception de l’objet qui, de prospectif, tend souvent à devenir une oeuvre pouvant se suffire à elle-même. Le document d’étude change alors de statut par son introduction dans l’espace d’exposition.

    Il en va de même avec l’architecte qui, à l’âge de la communication généralisée, ne semble plus pouvoir concevoir un projet sans devoir prendre en compte le besoin de visibilité de notre société. Après la revue spécialisée, on peut se demander si le musée, la galerie et le centre d’art ne lui permettent pas d’accéder à une reconnaissance nouvelle.

    En effet, les étapes composant la conception d’un projet réalisable ou expérimental pouvant se matérialiser en objets esthétiques, l’architecture exposée peut être considérée comme une démarche qui s’apparente à celle des artistes. Ces derniers étant toujours plus nombreux à travailler (sur) l’architecture et, d’une certaine façon, à contribuer à son exposition, cette situation donne lieu à un véritable effacement des frontières entre les pratiques. A partir de ces constats, on peut donc légitimement s’interroger sur la possibilité même de l’exposition d’architecture.

    Cette journée d’étude sera l’occasion de revenir sur ces différentes questions, en laissant place à tous les points de vue à même d’éclairer la pratique de l’exposition d’architecture et ainsi favoriser une approche pluridisciplinaire et diachronique de cet objet d’étude. Suivant les réflexions menées dans le séminaire, plusieurs axes privilégiés permettent d’orienter les contributions à venir sans toutefois exclure de fait d’autres sujets qui concerneraient le thème abordé lors de cette journée :
    – Historique, monographique, conceptuelle, … : quels types d’exposition pour quels enjeux ?
    – De la table d’architecte à l’espace d’exposition : quels déplacements s’opèrent ?
    – Contenant, contenu, scénographie : où situer l’architecture dans l’exposition ?
    – L’artiste comme révélateur de l’architecture.
    – L’architecture s’expose dans la ville, le bâti disparaît dans l’exposition : existe-t-il réellement des expositions d’architecture ?

    Date limite pour le dépôt des propositions : 31 mars 2013

    Conditions de soumission :
    Les propositions (titre et résumé de 3000 signes maximum), accompagnées d’une brève présentation des recherches de l’auteur (préciser l’université ou l’organisme de rattachement), doivent être envoyées à : l-architecture-exposee@ensa-bourges.fr
    Les réponses seront données la première semaine du mois d’avril. Les frais de déplacement pourront être pris en charge par les structures organisatrices.
    InTRu – Université François-Rabelais de Tours
    École Nationale Supérieure d’Art de Bourges

    Organisation :
    Enseignants :
    Frédéric Herbin (InTRu – Université François Rabelais de Tours)
    Hervé Trioreau (École Nationale Supérieure d’Art de Bourges)

    Étudiants de l’option médiation culturelle et pratiques curatoriales de l’Université de Tours
    Émilie Chrétien, Fiona Lefrère, Margaux Olivieri, Cyndie Riou-Tuillier, Claire Tahhane.

    Étudiants de l’École Nationale Supérieure d’Art de Bourges
    Tiphaine Calmettes, Nathan Cheriki, Solène Chesnais, Marine Feuillerat, Marguerite Pierronnet, Christèle Selliez-Vandernotte, Jérôme Valton.

    Lieu : Université François-Rabelais de Tours