Organisé par le laboratoire Rémélice
Intervention d’Atsuko Ukai (Université Teikyo) : “Takashima Hokkai, vers une définition du japonisme et de l’art japonais”
Organisé par le laboratoire Rémélice
Intervention d’Atsuko Ukai (Université Teikyo) : “Takashima Hokkai, vers une définition du japonisme et de l’art japonais”
Organisé par le laboratoire Rémélice dans le cadre du séminaire “Cultures et citoyenneté : représentations, transmissions, transformations”.
Intervention de Catherine Bernard (Université Paris Cité) : “Poétique de l’objection / imaginaires du commun dans la fiction britannique contemporaine”
Séminaire “décentrements : dynamiques créatives et critiques” organisé par le laboratoire Rémélice
Séance du 27 février 2025
Intervenantes : Elodie Gallet, Geneviève Guetemme et Sylvie Maréchal (Université d’Orléans)
Présentation de l’ouvrage Décentrement(s) Théories et pratiques d’un concept nomade paru aux éditions Hermann en 2024.
Organisé par le laboratoire Rémélice dans le cadre du séminaire 2024-2025 Décentrements
Intervention de Bruno Anselmi Matangrano (Université de São Paulo / ENS Lyon) : “Se réconcilier avec les origines autochtones et coloniales : la présence du folklore brésilien dans la fantasy contemporaine”
Organisé par le laboratoire Rémélice
Marie-Jeanne Rossignol (Université Paris Cité), Didier Guignard (Aix-Marseille Université) et Augustin Habran (Université d’Orléans)
“Une colonisation foncière en Algérie sur le modèle nord-américain ? Le souhait de Tocqueville à l’épreuve des politiques françaises, des résistances algériennes et du temps”
Séminaire organisé par REMELICE, dans le cadre de son cycle de séminaire Décentrements 2024-2025.
Intervention d’Elvis Eyele-Ekomo (Université d’Orléans) : “Interférences franco-espagnoles dans le parler équatoguinéen”
Organisation : Gaspar Delon, Olivier Maillart et Delphine Robic-Diaz
Aborder le cinéma par ses icônes demeure en France une pratique davantage liée aux réceptions populaires et aux enquêtes journalistiques à caractère biographique1 qu’au champ des études cinématographiques et audiovisuelles, en dépit du développement continu des études actorales ainsi que des gender et star studies dans l’Hexagone depuis une vingtaine d’années.
Organisation : Andrea Cabezas Vargas, Sophie Large et Melanie Pérez Ortiz
Alors que géologues, stratigraphes, chimistes et climatologues débattent encore aujourd’hui de la pertinence scientifique du concept d’anthropocène, et tandis que l’action communautaire et la littérature imaginent et testent déjà des mondes possibles pour vivre en harmonie avec la planète et les êtres vivants avec qui nous la partageons, la menace d’un désastre imminent semble être plus présente que jamais parmi le grand public. La fin du monde serait-elle pour demain ?
Journée d’études organisée par B. De Meyer (University of KwaZulu-Natal, chercheur invité à Tours au printemps 2025), Guillaume Cingal (ICD / Université de Tours) et K. Lievois (Universiteit Antwerpen)
Ces quarante dernières années, les littératures féminines issues de l’espace africain et caraïbéen ont connu des développements remarquables. Avec des autrices comme Maryse Condé, Paulina Chiziane, Calixthe Beyala, Léonora Miano ou Chimamanda Ngozi Adichie, elles se sont installées dans l’avant-garde littéraire « en mobilisant un discours dénonciateur et en justifiant esthétiquement leur choix du thème de l’identité féminine » (Naudier 2001 : 64). Non seulement les thématiques et formes littéraires se sont diversifiées, mais cette écriture féminine, variable selon les origines géographiques et sociales des écrivaines, a également été accueillie avec enthousiasme par le monde de l’édition et de plus en plus traduite.
En mars 2005 paraissait le premier numéro de la revue Nouvelles perspectives en sciences sociales. L’énoncé de la mission était ainsi rédigé, il n’a pas été modifié depuis, bien que fréquemment discuté au sein du comité de rédaction :
« La revue Nouvelles perspectives en sciences sociales (NPSS) entend accompagner les chercheurs qui s’aventurent dans de nouveaux espaces des sciences sociales. Dans cette revue pourront être diffusés les travaux qui, sans évidemment sacrifier à la rigueur, osent proposer des analyses qui sont capables de surmonter des obstacles qui s’élèvent devant les modélisations instituées. La revue ne se pose pas en rupture par rapport à ces modélisations. Elle en connaît la puissance. Mais cette reconnaissance ne lui suffit pas pour interdire qu’on affronte les modèles établis, qu’on les contourne ou qu’on s’en affranchisse. Car toute puissance porte en elle ses faiblesses, peut aussi bien propulser que handicaper, favoriser la découverte que l’empêcher.
« Le constat des limites des modèles établis en sciences sociales ouvre diverses voies. Si la critique de l’utilitarisme en est une, il y en a d’autres. NPSS entend favoriser l’exploration à partir de ces autres pistes, notamment, mais pas exclusivement, la systémique complexe et l’analyse relationnelle. La fécondité de la modélisation en termes de systèmes complexes n’est plus à démontrer dans de nombreux domaines de la connaissance scientifique. Il est temps qu’elle puisse s’exprimer en dépassant les récusations hâtives, voire les stigmatisations, dont elle souffre souvent dans les sciences sociales. L’approche relationnelle, au niveau micrologique, représente l’une des seules voies où il est permis d’aborder les rapports entre les personnes en dehors d’une logique phénoménologique où l’essentiel s’explique par référence aux intentions des acteurs ; au niveau macrologique, elle constitue l’une des façons de comprendre les phénomènes sociaux autrement que dans une perspective anthropocentrique, où tout le social se construit autour du sujet humain.
« Cette double orientation théorique n’est en aucun cas exclusive. L’ouverture à toute réflexion novatrice et rigoureuse doit être une règle, car il est peu probable que les territoires qui se révèlent livrent à l’observateur autre chose que la pluralité, aussi bien des objets d’analyse que de la manière de les aborder. »
Propositions de communication à envoyer jusqu’au 28 février 2025.