NIhonEuropA-XXI

Porteur de projet :
Pierre-Yves MONJAL, Groupe d’Études et de Recherche sur la Coopération Internationale et Européenne (GERCIE) – EA 2110

Partenaires :
Laboratoire d’Économie d’Orléans (LEO) – UMR 7322
Centre d’Études sur la COopération Juridique Internationale (CECOJI) – EA 7353 – Poitiers
Centre de recherche sur l’Amérique préhispanique (CERAP) – EA 1620 – Paris Sorbonne
Institut de Recherches en Droit des Affaires (IRDA) – EA 3970 – Paris Sorbonne
Centre de théorie et analyse du droit (CTAD) – UMR 7074 – Nanterre
Laboratoire de droit international, Tokyo, Japon

Année de l’Appel à projet :
2015

Le projet NihonEuropA-XXI a pour ambition de créer une plateforme scientifique spécialisée en droits japonais et français. En effet, le droit japonais et les relations qu’il entretient avec le droit français sont très peu développées en France. Or, des champs scientifiques importants sont à développer, en droit bien entendu, mais également en science politique, en sciences sociales et en économie. Le GERCIE, porteur du projet, compte, parmi ses axes, un important volet Union Européenne-Asie. Nous avons deux partenaires conventionnés avec deux grandes universités japonaises (Hiroshima et Chuo-Tokyo) que nous comptons développer. Plus précisément, les relations commerciales, économiques et culturelles franco-japonaises vont désormais intégrer cet axe UE-Asie. Le professeur Monjal, spécialiste du Japon, sollicite parallèlement à ce présent dossier, une chaire Jean Monnet et une chaire d’excellence Jean Monnet pour le GERCIE en très grande partie orientée sur l’axe UE-Japon. Ce projet fera intervenir deux laboratoires de la COMUE et quatre hors-COMUE. La plateforme (le site internet) regroupera tous les instituts et les laboratoires spécialisés sur les questions japonaises, les professeurs, les manifestations. L’ambition est de constituer un réseau intégré qui se veut unique en la matière (au moins au sein de la COMUE) afin de valoriser les études franco-japonaises. Ce dossier s’inscrit également au sein d’un programme I-Site.

Projet financé à hauteur de 5 000 €.

Voir aussi :